Un soir de déprime profonde (le genre de soir ou l'on se dit que seule une bière pourrait vous sortir du marasme dans lequel vous sombrez mais que personne n'est disposé à la partager avec vous) je trépignais devant mon écran ne sachant que faire pour combattre la morosité ambiante. J'ai tapé "Que faire quand on se fait chier ?" en recherche sur google. Les conseils abondaient, mais pas dans mon sens: "fume toi un pet, tire toi une balle, fais toi un rail de coke, regarde la télé, ouvre un livre, tape toi une queue". Bref rien de tres stimulant pour un vendredi soir à 23 heures.
Je me suis donc résolu à me connecter sur le forum du site où, comble du desespoir, personne n'était connecté et n'avait répondu à mes messages (pourtant tous pleins de verve, d'humour et d'imagination). Sachant que répondre à ses propres messages était interdit, je me suis demandé quel sujet serait capable de retenir l'attention de tout un gang et de lancer ce dernier dans un débat épique, chacun campant sur ces positions, avançant tous des arguments plus pertinents les uns que les autres. Un débat ou les limites connus de la reflexion humaine serait repoussées. Bref un débat qui aurait fait avancer philosophie et métaphysique de façon significative. Il fallait choquer, outrer, renverser les barrières, inverser les préjugés, flirter avec le danger.
Mais bon ce soir là je n'étais pas trop motivé pour me lancer dans une intance reflexion. J'ai donc décidé d'écrire ce qui me passait par la tête à ce moment là. Et comme tout ce que je voulais c'et un peu de beaume sur le coeur, j'ai écris "un peu de beaume sur le coeur".
Voilà l'explication de ce topic, qui je l'espere ne vous aura pas choqué. IL ne s'agit en fait que d'un exutoire pour moi. Il peut l'êtrep our vous si vous écrivez, un soir de solitude, ce que vous désirez à ce moment là.
J'espere sincèrement que mon explication vous satisfaits et me rétabli dans mon bon droit d'honnête citoyen du gang.